Attirée depuis toujours par la peinture et les métiers d’art, Eva s’est mise à la peinture sur le tard, poussée par cette passion enfin libérée par une retraite bien méritée.
Encouragée par son mari, lui-même peintre amateur, elle l’a suivi dans son atelier où il lui a dispensé les premiers rudiments du métier de peintre. Elle s’est alors prise au jeu et s’est épanouie dans cette discipline.
Sensible et appliquée, Eva a voulu aller plus loin dans sa démarche d’apprentissage, elle s’est alors inscrite dans un atelier libre dirigé par un professeur classique qui lui a enseigné les bases du métier de peintre dans une approche à la foi classique et ouverte sur la créativité.
Après une période de copiste où elle a acquis les fondamentaux, elle a progressivement trouvé son moyen d’expression propre pour laisser libre court à un imaginaire très personnel emprunt de féminité à mi-chemin entre le figuratif et l’abstraction naïve pour donner naissance à une œuvre originale pleine de sensibilité.